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Billet du 20 avril 2024, quand tu aimes il faut partir (Cendrars)







La neige en avril, toujours un événement.

Les voisins avaient prévu un barbecue ils vont faire une raclette.

Et moi je ressasse.

Bien -sûr je l’ai déjà dit dix fois, mais voilà, c’est le sens de ma chronique. A l’instant T un dimanche 21 avril 2024, j’ai quoi dans ma tête ?

J’ai toujours aimé  ce proverbe chinois : quand tu arrives sur le sommet de la montagne continue de monter.


Eh bien après la Nuit Unique qui était déjà un testament et le Rimbaud  en Ethiopie, je ne sens plus la nécessité d’aller plus loin.


Il me reste quelques désirs, mais à quoi bon rêver, ils sont irréalisables.


Je me détache, et quoique je lise ou que je voie des spectacles, des films,  des expositions de peintures, j’en reviens toujours aux quatre poèmes fétiches qui m’auront accompagné toute ma vie.














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